Début du traitement en février 2002

Vu du traitement en janvier 2006 (en cours)

Novembre 2002


fin novembre je tombe malade, pneumopathie aiguë. Je termine l’année épuisée et dévastée, je suis dans le doute le plus profond, ma vie est synonyme d’échec, je me suis trompée sur toute la ligne, comme une erreur de casting.”

Octobre 2004


Je me sens beaucoup plus détendue dans le sens de -non tendue vers…– avec une sorte de joie qui remplace le drame.Je commence doucement à dormir. Je me sens moins fatiguée moins inquiète etc… Bref je me sens enfin une personne normale.”

Témoignage de claude


« …Après une période difficile, qui s’est étalée de l’été à la fin 2005, où un excès de matière ( par quel mystère ?) m’a fait plonger progressivement dans un état de plus en plus noir et dépressif, depuis un an maintenant les choses se sont stabilisées et ont pris une toute autre direction..

Sur le plan physique,
je me sens réellement détendue, depuis cet été j’ai retrouvé le sommeil. Il est important de noter que j’étais insomniaque depuis 1996 , l’insomnie est quelque chose de terrible qui rend fou (folle). Cela fait 6 mois maintenant que je n’ai plus de problème d’endormissement, signe que la détente est réelle.

Sur le plan mental ou psychologique, il y a là aussi une détente, je me sens plus fluide et une certaine harmonie s’est installée dans ma vie.
Je n’ai plus envie de changement, plus envie de me battre. Je n’ai plus envie non plus de gérer, de contrôler, ce fonctionnement que j’avais depuis toujours ne m’intéresse plus, je ne m’y retrouve plus. Je découvre qu’on peut ETRE autrement, que je peux apprécier, que la douceur existe, c’est encore nouveau mais je m’y sens bien.

Je dois maintenant préciser que depuis un an je suis les formations et la thérapeutique orthobiotique.
Ce traitement m’a considérablement aidé à lever des blocages émotionnels inconscients…
Il est néanmoins très clair pour moi et je ne reviendrai jamais là-dessus, qu’une hauteur minimale de DV m’a seule permis de porter mon état de conscience à un niveau qui m’aurait été définitivement inaccessible. »